Tizi-ouzou – santé : Une entreprise portugaise chargée de réaliser un hôpital spécialisé en cardiologie pédiatrique à Draa Ben Khedda

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Tizi-ouzou, 30 mai 2008 (bms)- Une entreprise portugaise, ABRANTINA-CONSTRUCTURA, a lancé début mai les travaux de réalisation d’un hôpital spécialisé en cardiologie pédiatrique de 80 lits à Draa-Ben-Khedda, ville banlieue ouest de Tizi-ouzou, a-t-on appris de source officielle jeudi.     La structure, qui sera réalisée sur près de 14.000 métres carrés dont une partie est réservée à l’hôpital et l’autre pour les annexes techniques, devra être livrée  »dans un délai ne dépassant pas les 15 mois », selon la même source.     Cette structure sanitaire se chargera de répondre en  »soins hautement spécialisés » aux populations des départements (wilayas) de Tizi-Ouzou, Béjaia, Boumerdès et Bouira, a-t-on précisé de même source.      Le département de Tizi-ouzou comprend deux hôpitaux seulement, situés l’un comme l’autre dans la capitale du Djurdjura. Il s’agit de l’hôpital Nadir, au centre ville de Tizi-ouzou et de l’hôpital Balloua, sur les hauteurs de la cité des genêts.    Belkacemi Mohand Said – Kabylie.unblog.fr Information libre de tout droit  Merci pour votre [e-mail] Mobile:[phone] Mobile en Algérie: 072.13.88.88 – FAX: [phone] Si j’ai raison c’est grâce à Dieu, si j’ai tort je Le prie de me Pardonner Voir mon site avec images http://kabylienews.site.voila.fr Vous pouvez réagir à nos informations et chroniques en visitant le forum La Kabylie en Ligne

Kabylie- Portrait d’été : Portrait express de Mingo l’éleveur qui s’est »égaré » au port de Tigzirt

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Tizi-ouzou, 29 mai 2008 (bms)- Mingo est ce monsieur sur la photo en chemise rouge que kabylie news (Kabylie en ligne) a rencontré au port de Tigzirt en train d’aider ses amis pêcheurs en pleine action d’extraction de poisson pris dans le filet.     Mingo, contrairement à la majorité des Kabyles a eu la faveur de se surnommer lui-même ainsi, affirme-t-il. Il s’appelle en réalité Rabah Tatoukt du village Taksebt et son surnom il le soit à son commerce.     Souriant et accueillant, il a … refusé sans hésitation mais gentiment de répondre à quelques questions liées à la pêche pour la simple raison, dit-il, qu’il n’est pas pêcheur mais un éleveur basé à plus de deux kilomètres du port de Tigizirt où on l’a rencontré.      Son port à lui est une étable familiale située à l’entrée nord de la ville au carrefour menant vers Ifflissen et Azzefoune.     Il trouve toutefois que les pêcheurs s’en sortent bien. Mais le fait que Tigzirt soit une ville de pêcheurs ne veut pas dire que sa population paie moins cher que d’autres le kilogramme de poisson y compris la sardine qui y est vendue entre 100 et 130 DA. Bien au contraire.       »C’est normal », dit Mingo qui l’explique paradoxalement par la proximité de la mer.  »Dans les villes et les villages les revendeurs peuvent baisser le prix pour ne pas risquer de perdre le produit alors que sur la côte il faut vite vendre le poisson et la sardine (avant 11 heures) », explique Mingo.       Avant de nous en aller Mingo a tenu à nous remettre quelques coquillages en guise de souvenir… C’est du pur Kabyle ça que de ne pas laisser un visiteur repartir les mains vides… En Kabylie: tout ce qui ne brille pas est souvent or. Merci Mingo.  Belkacemi Mohand said 1000 portraits d’été: Kabylienews vous diffusera cet été un maximum de portraits de gens ordinaires de nos villes et villages. A défaut de réaliser des reportages dans 1000 villages nous essaierons de faire 1000 portraits. Un appel vous est lancé pour participer. Envoyez vos papiers avec photos à [e-mail]       Belkacemi Mohand Said – Kabylie.unblog.fr Information libre de tout droit  Merci pour votre [e-mail] Mobile:[phone] Mobile en Algérie: 072.13.88.88 – FAX: [phone] Si j’ai raison c’est grâce à Dieu, si j’ai tort je Le prie de me Pardonner Voir mon site avec images http://kabylienews.site.voila.fr Vous pouvez réagir à nos informations et chroniques en visitant le forum La Kabylie en Ligne

Proverbes kabyles circonstanciés par Belkacemi Mohand Said

- Aqjun ihamal win thikathen (Le chien aime celui qui le bat) - Les gens accouraient vite ce jour là en direction du quartier haut (El Hara Oufella) du village Ath Seksou Sezviv (couscous aux raisons secs) en entendant un chien se plaignant de douleur comme le ferait un être humain.  Le vacarme qu’il a créé seul a pris de pitié les gens mais qui ô surprise découvrirent DA AMAR le bâton à la main n’en finissant pas de battre son chien déjà tout ensanglanté.(Suite)

- Win yetchan thayazit eb eflis, ihaguid thinis (celui qui s’est régalé avec la poule d’autrui doit préparer à offrir la sienne aux autres) – Mais à peine le dîner terminé, un convive suggère que tous les présents fassent une tournée générale dans les villages et festoient de la sorte régulièrement et à tour de rôle.(Lire)

-   »Anid’a dhamâagh thafath Iyufigh lahwa thakath » ( »Là où je croyais trouver une éclaircie que je serais surpris par une pluie battante »)- Ceci est l’histoire de Da Mhand qui a mis toute son énergie dans la réalisation d’un grand projet d’utilité publique. Croyant qu’il pouvait compter au moins sur des amis et des proches il s’est retrouvé en fait devant des adversaires plus acharnés contre son projet que d’autres.(Lire)

-  Fetta d’ Fettouma Aghrant Itsawhid … inigh tsnaghent, thakhrit lwahid -Fetta et Fettouma attirent l’attention, elles se chamaillent bien mais elles partagent la même … bourse - (Lire)

- Win fi thâada avrid our yalli wara, win fiâadan esnath ousdigriwara.C’est un proverbe à méditer et qui suggère le respect de la mémoire sans laquelle il ne reste rien à l’individu. Le proverbe traduit dit à peu près ceci. Celui qui se fait avoir une fois n’a pas à s’en faire mais il ne lui resterait rien s’il se fait avoir deux fois. C’est l’équivalent peut être de  »un homme averti en vaut deux ».BMS

-  »Win ibghan Tafouat adizlu taghat » ou l’adage qui dit On ne fait pas d’omelettes sans casser des œufs -  La scène se passait sur la place du village et mettait en avant Da Belaid de Lhara Uchakrid (boucher) et Da Cherif de Lhara bavrid (commerçant ordinaire).  C’était un jour d’été et les gens veillaient tardivement sur cette place magique où tout le monde se retrouve pour se détendre en assistant à des échanges verbaux entre différents protagonistes qui finissent parfois en bagarres générales, chacun intervenant du côté du plus proche de soi côté familial. Comme toujours, les gens riaient et s’accrochaient au moindre mot provocateur lancé par quelqu’un pour devenir le thème majeur de la rencontre. ..(Lire) 

BELKACEMI Mohand said -  [e-mail] - 0772.13.88.88

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